Adieu Ronald, et encore bravo. par le Dr. Thompson
Samedi 5 Juin 2004 nous quittait Ronald Reagan, celui que Margaret Thatcher appelait "le deuxième homme de ma vie. Je me joindrais donc au concert des louanges mondiales pour, en guise d'épitaphe, celebrer la mémoire de cet ersatz nixonnien, chancre du liberalisme et apôtre de la série Z politique.
Les élections présidentielles nord-américaines approchent et le Coma-andante entre en campagne.
Ce lundi, il a, à nouveau, menacé son détesté voisin d'une nouvelle et massive vague de réfugiés. Plusieurs fois par mois, la momie putréfiée sort de sa léthargie et montre à George W. Bush la dernière balle qu'il lui reste dans la cartouchière.
Mais il la montre seulement. Il ne la gaspille pas. En effet, le gouvernement des États-Unis a déjà prévenu qu'il n'était plus disposé à céder au chantage de dizaines de milliers de Cubains affamés jetés à la mer. Castro le sait.
Et même s'il est plus fou que les maracas de Machín, il ne l'est pas au point de se suicider. Au moins, pour l'instant. Toutefois, tout est possible quand on parle d'une canaille qui se sait très malade et pour qui la vie d'autrui ne vaut pas le cent d'un dollar. Et ils sont nombreux ceux qui, comme Huber Matos, pensent qu'il a déjà décidé de mourir en tuant, en provoquant une intervention nord-américaine qui effacerait ses crimes et ses échecs.
L'Afrique, objet du commerce mondial
L’Afrique doit faire face depuis l’antiquité à une mise à l’écart des échanges commerciaux, et quand elle y était partie, cela se faisait en tout cas dans le cadre d’un commerce inégal avec les différents empires qui se sont succédés.
Mais c’est réellement à partir de la découverte de l’Amérique en 1492 que cette inégalité s’est véritablement muée en une exploitation chronique de ses richesses.
Article complet sur web.archive.org
L'Afrique et l'exploitation des ressources naturelles
Disposant d’un des sols les plus riches de la planète en termes de ressources naturelles, l’intégration de l’Afrique aux marchés mondiaux passe largement par les projets d’exploitation de ces dernières?
Etudions l’insertion de l’Afrique dans l’économie mondiale.
Tous espèrent la dernière faiblesse. Mais, en aucune manière, ils ne sont disposés à s'immoler et à perdre tout ce qu'ils volèrent aux côtés de celui qui fut leur Máximo Líder et qui aujourd'hui n'est plus qu'un fantomatique fanfaron capable seulement de torturer ses victimes.
Dans la nuit de dimanche 30 juin à lundi 1er juillet 2002, une bombe américaine a tué plusieurs dizaines de personnes au sud de l'Afghanistan.
La bombe américaine aurait "manqué sa cible et échappé au contrôle des forces américaines", aux dires du Pentagone. Les victimes de ce bombardement, survenu au Sud du pays, était en train de célébrer un mariage. Or, il est de tradition dans les mariages patchounes de tirer en l'air lors de la célébration. Les forces US auraient mal interprêté le geste, croyant à une attaque, et auraient ainsi "lourdement" riposté.
Déjà 15 ans de retraite !
Et réussit à faire un tollé en donnant la recette qu'il a toujours méticuleusement appliqué, sans s'en cacher une seconde.
Reprenons d'abord l'objet du crime, les bonnes paroles de Patrick Le Lay, PDG de TF1, interrogé dans un livre dénommé "Les dirigeants face au changement" (Editions du 8e jour) :
"Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective 'business', soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit [...] Or pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible [...]